De plus en plus de scientifiques développement de riches parcours professionnels, emmagasinant des connaissances dans plusieurs domaines, plutôt que se spécialiser en un seul champ de recherche. Cela permet de créer des liens inusités entre les situations et poser des hypothèses hors de la boîte. En neuro-immunologie, l’apport de la biologie s’avère crucial pour proposer de telles solutions à l’incroyable complexité du corps humain, de même que déjouer les perceptions du grand public.
L’analyse complexe et le sens critique au service des neurosciences
Les interactions entre le système nerveux central et le système immunitaire sont innombrables. Pour élucider des mécanismes préconisés, par exemple, par des lymphocytes pour affaiblir des cellules du système nerveux central, des scientifiques aux connaissances variées constituent un atout dans la recherche en neuro-immunologie. En ce qui a trait aux pathogenèses de maladies auto-immunes (par exemple, la sclérose en plaques), ils fournissent des contributions qui font avancer les connaissances. Certains surveillent les protéines intracellulaires, cytokines, ligands, etc. D'autres analysent comment des molécules sont exprimées par le système nerveux central, en ce qui constitue une modulation des réponses immunes. Par ailleurs, il importe que des biologistes mettent en évidence les répercussions et les bienfaits des avancées survenant dans le domaine de la santé publique. Malgré le fait que les pays industrialisés figurent parmi les plus développés, le taux de vaccination demeure considérablement peu élevé. Cela constitue une sorte de non-sens. Voilà pourquoi d’éminents scientifiques en sont venus à se pencher sur les objectifs de l’enjeu social de la vaccination. Ils effectuent un bilan de l’évolution de l’immunologie et font part de leurs réflexions, tels des écrivains, via des blogs tels que sciencereflexion.wordpress.com.
Révolutionner les sciences au 21 e siècle
Plus que jamais au 21 e siècle, des chercheurs passionnés de sciences sont nécessaires pour révolutionner les secteurs de l’allergologie, la psycho-neuro-immunologie et l’immunologie. Des hommes et des femmes de terrain, aux vastes connaissances, partagent leurs analyses et leurs réflexions, afin de solutionner des problématiques qui affectent un nombre grandissant d’individus.
Vers un Homme augmenté ?
Il importe également que des biologistes consacrent de leur temps à des réflexions portant sur l’éthique des pratiques, alors que le mouvement de Transhumanisme prend de l’ampleur. Devrait-on évoluer vers un Homme « réparé », ou devrait-on encourager plutôt l’Homme « augmenté » ? Pour les experts qui se spécialisent dans l’étude du cerveau humain, il s’agit là de questions fondamentales des plus passionnantes. Est-il possible d’obtenir un développement optimal du cerveau ? En quoi l’intelligence artificielle modifiera-t-elle les pratiques et impactera-t-elle sur l’évolution de l’espèce humaine ? Une panoplie de nouvelles technologies et d’objets connectés envahissent la vie courante, comme des montres et lunettes connectées, textiles intelligents, exosquelettes contrôlés par la pensée, et puces sous-cutanées. Ce ne sont que quelques exemples des développements technologiques fulgurants qui contribuent à l’avancée du Transhumanisme. Cela fera probablement couler beaucoup d’encre chez les écrivains qui sont aussi biologistes de formation.